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cinéma

Justice League

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Après la mort de Superman, Bruce Wayne continue de prendre à cœur la protection de la planète. Alors qu'il lève le voile sur une nouvelle menace, il lui faut trouver des alliés pour faire face aux nouveaux dangers qui rôdent. Avec l'aide de Diana Prince, il cherche à recruter Barry Allen, Arthur Curry et Victor Stone, trois prodiges dont les talents communs pourraient permettre de combattre un nouvel ennemi. Mais sans Superman et le symbole d'espoir qu'il représente, la tâche semble compliquée.

Au tour de DC et Warner de dégainer leur équipe de gros bras. Sans s'embarrasser d'une myriade d'explications que les films consacrés à chaque personnage déploieront probablement, le film de Snyder entre rapidement dans le vif d'un sujet un peu confus qui mêle un méchant d'une banalité plutôt ridicule et des personnages que le récit a du mal à sortir de la caricature. Si Ben Affleck et Gal Gadot portent efficacement les costumes de leurs personnages, le reste du casting, moins homogène, n'est pas toujours aidé par des dialogues qui hésitent en permanence entre décalage humoristique et profonde gravité. Moins ample et fin que dans Man of Steel, moins teinté d'un réalisme sérieux que Batman v Superman, le film perd peu à peu de sa force initiale pour glisser vers un affrontement final qui souffre des mêmes défauts que ses prédécesseurs : confus, criard et fatigant. Dommage, dans ses moments de calme et quand il laisse parler ses personnages, le film gagnait presque une vraie épaisseur.

 

Publié le 15/11/2017 Auteur : Guillaume B.

Réunion de super-héros, Justice League peine à se trouver un rythme et un fond. Sacrifiant une narration posée et des personnages construits à des bons mots et des effets tape-à-l'oeil, le film, à force de vouloir jouer sur tous les tableaux n'est bon dans aucun.