9af5b25b4fa792f45a7c29e10cfc7f1836c1f46d
1c73275422facf3195aea653bca81752f275a84e
48ee559f223f2d461b6558e25f1d7add0a0ee172
Bed8106b87a2137c13469efd7ee796b650f8ba3d
C3666ba0bd5fab9eefd80474ff8f87edc432b5cf
6b93f84871af73f949ac84c57fc004c043417ccb
Fermer
danse

Tours d'Horizons / Bernard Glandier, Christine Bastin, Thomas Lebrun - "1998" (création)

Tours d'Horizons / Bernard Glandier, Christine Bastin, Thomas Lebrun - "1998" (création) (2024)
"1998" est le titre d’un programme composé de pièces de répertoire et de transmission en hommage à Bernard Glandier et Christine Bastin. La création d’un duo, signé Thomas Lebrun, complète cette soirée exceptionnelle.


1998 est l’année où Thomas Lebrun crée son premier solo Cache ta joie ! La même année, Bernard Glandier, grande figure de la danse contemporaine française, lui transmet son solo Pouce ! qu’il devra transmettre un jour, à son tour, à un jeune danseur. Célébrer la danse et la transmission est le point de départ de cette soirée de répertoire, qui propose de revoir ou de découvrir des pièces courtes, importantes, de la fin des années 90. Au programme : deux soli, Pouce ! et Tú, solo tú de Bernard Glandier et Noce, superbe duo masculin de Christine Bastin transmis à deux jeunes danseurs. Inspiré par une citation de René Char : « Hâte-toi de transmettre ta part de merveilleux, de rébellion, de bienveillance… », Thomas Lebrun signe également la création d’un duo féminin en compagnie de deux interprètes emblématiques et porteuses de cette histoire chorégraphique.

« J’ai dansé pour la première fois Pouce ! en 1998 au Cratère, scène nationale d’Alès, où la compagnie Alentours était en résidence. Bernard ne pouvait plus danser à cause de sa maladie, et me l’a « offert »… Cette transmission a été, je peux le dire aujourd’hui, ma plus belle histoire de danse en tant qu’interprète… Celle qui m’a le plus construit… Même si je n’en étais pas complètement conscient à l’époque… Conscient du bonheur et du moment… Oui ! Mais pas de l’histoire, ni de la responsabilité… Du moins pas à la bonne échelle, je dirais à l’échelle d’un jeune danseur respectueux et très heureux. Tout cela a considérablement contribué à la construction de l’interprète, puis du chorégraphe que je suis devenu. » Thomas Lebrun

Publié le 03/05/2024


Mots clés : festival #contemporain