théâtre
AUTOPORTRAIT À MA GRAND-MÈRE
Sous forme d’adresse épistolaire, nourrie de souvenirs, entrecoupée d’enregistrements réalisés au cours des années, Patricia Allio dresse une sorte de portrait social de sa grand-mère, « fière, mais aussi honteuse » de sa condition. Une honte sociale marquée par le breton, langue maternelle mais interdite, langue des colonisés.
Publié le 30/08/2020