Marco Antonio de la Parra a dénoncé, en optant pour la dérision, les conditions de vie au Chili durant la dictature. La situation de départ : deux exhibitionnistes se disputent le banc public qui fait face à un collège de jeunes filles. Avec un humour féroce, une réflexion sur nos convictions qui, confrontées au réel, vacillent, voire s'effondrent. Une pièce douce-amère, plus profonde qu'il n'y paraît.

C'est également l'occasion de signaler que le TPN se joint à l'opération Carnet Pleins Feux, qui permet au public de naviguer entre la Cave Poésie et les théâtres du Fil à Plomb, du Grand Rond, du Pont Neuf et de la Violette, grâce à cinq places itinérantes, avec un tarif de 30 à 40 euros.

La culture à la portée de tous !