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cinéma

Supercondriaque

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Obnubilé par les microbes et le risques de contracter une maladie, Romain s'imagine, au moindre rhume souffrir des troubles les plus sérieux. Exaspéré, Dimitri, son médecin (et ami à son corps défendant) se résout à tâcher de trouver une solution à son plus grand mal : la solitude. Alors qu'il l'emmène l'assister pour apporter des soins à des réfugiés, Romain est confondu avec un résistant célèbre et trouve refuge chez la propre sœur de Dimitri.

Pour être clair, passée les quinze premières minutes du film, l'hypocondrie ne tient quasiment plus aucune place dans le film. Pour autant, Dany Boon ne rate pas complètement son film. Sans guère plus qu'une succession de grimaces et d'onomatopées pour toute palette, l'acteur Dany Boon ne s'avère pas être le meilleur atout de son film : passées les premières minutes, le rire finit par s'épuiser un peu. Kad Merad, fidèle partenaire de jeu, renvoie les balles de son mieux mais c'est surtout des situations et des deux rôles féminins que jaillit un peu de vie dans un scénario assez balisé. Paradoxalement, c'est quand il s'échappe un peu du carcan de la comédie que le film gagne un peu d'ampleur. Le cinéaste Boon s'y révèle un peu plus dynamique et moins bêtement illustratif que dans ses précédents films. Dommage qu'il faille subir un scénario pas très audacieux et attendre la fin du film pour cela.

Publié le 26/02/2014 Auteur : Guillaume B.


Mots clés : cinéma