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cinéma

Jurassic World

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 Après les première tentatives désastreuses, Jurassic World a ouvert ses portes et attire sans cesse un public toujours plus nombreux. Pour augmenter les seuils de rentabilité, les dirigeants du parc développent de nouvelles espèces en hybridant les dinosaures. Tout se passe pour le mieux jusqu'au jour où un de ces hybrides échappe à la surveillance pourtant étroite mise en place par les équipes du parc.

 Jamais fatigué de ressasser les vieilles rengaines, Hollywood puise chez Spielberg de quoi continuer à nourrir une machine à rêves quelque peu grippée. Troisième suite du film original, ce Jurassic World arpente les exactes mêmes chemins que ses aînés, l'invention en moins. Colin Trevorrow n'est pas un mauvais bougre mais sa réalisation outre les clins d'oeils aux premiers épisodes manque singulièrement d'âme. Comme toujours il y est question de famille, de monstres, de sursauts et de surenchère. A ce titre, Jurassic World penche sérieusement vers le ridicule en tirant sur le côté apprenti-sorcier, en alignant des créatures de plus en plus grosses et surtout en ne proposant qu'un remix des films précédents (chercher les scènes, c'est très facile). Chris Pratt s'en tire avec les honneurs, c'est moins le cas du reste d'un casting qui joue les faire-valoir pour bestioles en images de synthèse.

Publié le 11/06/2015 Auteur : Guillaume B.


Mots clés : cinéma