Maria Dolores y Amapola Quartet
RéserverPrésentation
« Si l’amour savait parler, sa langue serait celle du tango »
Tout droit sortie d’un film d’Almodovar, la biche madrilène - icône du kitsch latin - n’a pas le goût des demi-mesures. Elle ose, sans détour. Maria Dolores avait pourtant juré de ne plus jamais chanter le tango... Alors est-ce l’écho du souvenir ou l’appel du bandonéon qui a réveillé en elle cette musique qui coule dans ses veines ? Dans ce spectacle savoureux à l’humour tonitruant, elle révèle aussi sa voix envoûtante avec l’Amapola Quartet qu’elle houspille allègrement. Ensemble, ils conversent dans cette langue si sensuelle qui n’appartient qu’au tango ; d’où s’échappent soupirs et soubresauts qui font de cette musique une fusion de passion et de peine. D’airs susurrés en milongas des exilés, on parcourt les trottoirs de Buenos Aires avec cet orchestre au son sublime… Maria Dolores raconte avec une drôlerie gargantuesque SA véritable histoire du tango.
Ils en parlent
Mediapart: "Un spectacle brillant, original, enlevé."
24h weekend (Suisse) : "Une mante religieuse au kitsch latin. D’envoûtante à burlesque, tous les qualificatifs lui vont."
Le clou dans la planche : "Du burlesque, du vrai, du bon, de celui qui ne plaint ni la folie ni l’énergie et qui vous emballe un public."
Ouest France : "Maria Dolores : un mythe. À la fois diva sensuelle et clown, la biche madrilène est généreuse à chaque instant. Et le public le lui rend bien."
Distribution
Maria Dolores, chant (Lula Hugot/Stéphanie Barreau)
Christophe Doremus, contrebasse
Sandrine Roche, piano
Daniel Arbos, bandonéon
Ariane Lysimaque, violon
Lula Hugot, écriture, déviances et mise en scène
Michel Capelier, arrangements
Nadia Rémond, costume
Production-Diffusion, Avril en Septembre Avec le soutien du CNV, Studio Théâtre de Stains (93)
Crédits photo, Gilles Ramant et Sylvain Gripoix
Publié le 31/08/2022