« Voir ce qui nous reste de cette période et le confronter au contexte actuel ». Un festival, une expo, une sculpture monumentale... un même univers traversé par la notion d'expérience (« le live, l'éphémère ») assurée par des formations musicales, mélange de nationalités (l'Anglais Sonic Boom, les Américains Psychic Hills), de générations et de style, entre vieux clavier et distorsion : « un travail d'archéologue » élargi à la projection, la performance ou le spectacle lumineux.
Trois jours d'intenses et bruyantes sessions qui laisseront des « traces », films, diapos, photos, flyers, objets de scène... D'où l'expo : « un sujet totalement inexploré en France, contribution à la recherche internationale » explique Yann. Le temps « d'explorer l'art vivant et considérer l'art contemporain à l'ensemble des disciplines qui le nourrissent ». Fédérateur, utopique ?